@article{oai:atomi.repo.nii.ac.jp:00003356, author = {坂本, 秀夫}, issue = {53}, journal = {跡見学園女子大学文学部紀要, JOURNAL OF ATOMI UNIVERSITY FACULTY OF LETTERS}, month = {Mar}, note = {application/pdf, text, Face aux problèmes moraux soulevés par les avancées de la recherche scientifique, notamment génétique, 1a bioéthique se voit dans une impasse. Si elle n'arrive pas à s'en sortir, c'est que la bioéthique s'appuie sur des notions conventionnelles telles que la dignité de l'homme et l'autonomie de la personne. Le présupposé sous-jacent à ces notions-là est que l'on possède son propre corps, ce qui n'est pas tout à fait évident. En réalité, 1e corps humain consiste en trois couches par ordre hiérarchique: le corps actuel à sa libre disposition,le corps impersonnel au-dessous et l'intercorporéité fonctionnant au fond des couches. En pénétrant les choses ainsi que les étres vivants, l'intercorporéité rend possible 1'apparition du monde mais elle ne fait jamais sa propre apparition.Elle n'entre pas non plus dans l'ordre moral, parce que c'est elle qui constitue la base des valeurs morales. La bioéthique en tant que philosophie, si appliquée soit-elle, devrait donc se fonder sur l'intercorporéité.}, pages = {A185--A203}, title = {「間身体性の倫理学」の構想―生命倫理学への問い―}, year = {2018} }